Islay, par mauvais temps |
17.08.2003 |
Ca a été mieux que prévu. Depuis Oban, une douzaine de milles de rame, puis le vent s'est levé, nous faisant avancer de plus en plus vite, jusqu'à nous amener en plein milieu du troisième plus grand tourbillon de la planète, à son moment le plus fort. Mais comme le vent venait de se lever et que les vagues étaient encore inexistantes, nous l'avons passé sans encombre, accélérant jusqu'à cinq ou six noeuds en y entrant, tombant à 0.9 en ressortant. Ensuite, une tirée de plus de 25 milles en longeant les côtes avec un fort vent, nous faisant rejoindre Craighouse. De là, six heures de rames pour arriver à Port Ellen, point de départ de l'Ecosee pour l'Irlande. Demain, si le temps le permet...
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